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Le stévia prospère en plein soleil, dans des sols relativement pauvres, cependant il ne faut pas laisser sécher le sol. Faites un arrosage léger aux 2 à 3 jours. Les plants ayant des racines près de la surface, un paillis autour des plants empêchera les racines superficielles de sécher. Les plants de stévia préfèrent des engrais faibles en azote ou à dégagement lent d'azote comme le 14-14-14 ou un engrais à jardin ordinaire comme le 4-12-8.
La germination des graines de stévia est très aléatoire avec un taux de succès aux alentours de 25%. Les semences sont dispendieuses et difficiles à trouver. Faites vos semis de février à avril à l'intérieur à une température de 20 à 25 Celsius. La gernination aura lieu en 7 à 14 jours.
Ne laissez pas le sol sécher, cela ralentirait leur croissance. Fertilisez à l'engrais soluble (15-30-15) à demi-dose aux 3 semaines.
Si vous habitez dans le sud-ouest, vous pouvez les sortir dès le mois d'avril. La ministre de la santé et des sports, le
ministre de l'alimentation, de l'agriculture et de la pêche, le
ministre auprès de la ministre de l'économie, de l'industrie et de
l'emploi, chargé de l'industrie, et le secrétaire d'Etat chargé du
commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du
tourisme, des services et de la consommation,
Vu le règlement (CE) n° 1333/2008 du Parlement européen et du Conseil
du 16 décembre 2008 sur les additifs alimentaires ;
Vu la directive 89/107/CEE du Conseil du 21 décembre 1988 modifiée
relative au rapprochement des législations des Etats membres concernant
les additifs pouvant être employés dans les denrées destinées à
l'alimentation humaine, notamment son article 5 ;
Vu le décret n° 89-674 du 18 septembre 1989 modifié relatif aux
additifs pouvant être employés dans les denrées destinées à
l'alimentation humaine ;
Vu l'avis de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments du
19 juin 2009,
Arrêtent :
Le rébaudioside A (extrait de Stevia rebaudiana) répondant aux
dispositions fixées en annexe I peut être employé en tant qu'additif
alimentaire (édulcorant), dans les conditions fixées en annexe II
jusqu'à la date d'entrée en vigueur de la liste des additifs autorisés
dans les denrées alimentaires prévue à l'annexe II du règlement du 16
décembre 2008 susvisé et au maximum pendant une durée de deux ans.
La directrice générale de la concurrence, de la consommation et de
la répression des fraudes, la directrice générale de l'alimentation, le
directeur général de la santé et le directeur général de la
compétitivité, de l'industrie et des services sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Les spécifications et critères de pureté
du
rébaudioside A (extrait de Stevia rebaudiana) doivent répondre aux
dispositions suivantes :
Dénomination chimique
13-[(2-O--D-glucopyranosyl-3-O--D-glucopyranosyl--D-glucopyranosyl)oxy]
kaur-16-en-18-oic acid -D-glucopyranosyl ester.
N° CAS
58543-16-1.
Formules chimiques
C44H70O23.
Masse moléculaire relative
967.03.
Le produit ne contient pas moins de 97 %
de rébaudioside A exprimés sur la base anhydre.
Poudre blanche avec une odeur caractéristique ayant une saveur sucrée.
Le pouvoir sucrant est d'environ 300 fois supérieur à celui du
saccharose.
Soluble dans l'eau et l'éthanol.
Pas plus de 6 % (105 °C, 4 heures).
Cendres sulfatées
Pas plus de 1 %, sur la base de la
matière sèche.
Entre 4,5 et 7 (solution 1/125).
Pas plus de 1 mg/kg sur la base de la
matière sèche.
Pas plus de 1 mg/kg sur la base de la
matière sèche.
Pas plus de 10 mg/kg, exprimés en plomb,
sur la base de la matière sèche.
Pas plus de 200 mg/kg d'éthanol, pas plus de 10 mg/kg de méthanol sur la base de la matière sèche.
DENRÉES ALIMENTAIRES |
DOSES MAXIMALES D'EMPLOI (exprimées en rébaudioside A) |
Boissons non alcoolisées |
420 mg/l |
― boissons à
base de lait et produits dérivés ou de jus de fruits à valeur
énergétique réduite, ou sans sucre ajouté |
420 mg/l |
Desserts et produits similaires |
600 mg/kg |
―
préparations à base de lait et produits dérivés, à valeur énergétique
réduite, ou sans sucre ajouté |
600 mg/kg |
― desserts à
base de fruits et légumes, à valeur énergétique réduite, ou sans sucre
ajouté |
600 mg/kg |
― desserts à
base d'œuf à valeur énergétique réduite, ou sans sucre ajouté |
600 mg/kg |
― desserts à
base de céréales, à valeur énergétique réduite, ou sans sucre ajouté |
600 mg/kg |
― desserts à
base de matières grasses, à valeur énergétique réduite, ou sans sucre
ajouté |
600 mg/kg |
― glaces de
consommation, à valeur énergétique réduite, ou sans sucre ajouté |
540 mg/kg |
Confiseries
|
|
―
confiseries sans sucres ajoutés |
600 mg/kg |
―
micro-confiserie pour rafraîchir l'haleine sans sucres ajoutés |
1 050 mg/kg |
― pastille
rafraîchissante forte aromatisée pour la gorge sans sucres ajoutés |
1 260 mg/kg |
―
confiseries à base de cacao ou de fruits secs à valeur énergétique
réduite, ou sans sucre ajouté |
1 260 mg/kg |
―
confiseries à base d'amidon à valeur énergétique réduite, ou sans sucre
ajouté |
1 260 mg/kg |
― pâtes à
tartiner à base de cacao, de
lait, de fruits secs ou de graisses, à valeur énergétique réduite, ou
sans sucre ajouté |
600 mg/kg |
― gommes à
mâcher sans sucres ajoutés |
4 200 mg/kg |
Autres produits
― cidre et poiré |
420 mg/l |
― bières
sans alcool ou ayant une teneur en alcool ne dépassant pas 1,2 % |
420 mg/l |
― " Bière de
table/Tafelbier/Table Beer " (contenant moins de 6 % de moût primitif)
sauf " Obergäriges Einfachbier " |
420 mg/l |
― bières
ayant une acidité minimale de 30 mill-équivalents exprimée en NaOH |
420 mg/l |
― bières
brunes de type oud bruin |
420 mg/l |
― bière à
valeur énergétique réduite |
150 mg/l |
― boissons
constituées d'un mélange de
bière, de cidre, de poiré, de spiritueux ou de vin et de boissons non
alcoolisées |
420 mg/l |
― boissons
spiritueuses avec une teneur en alcool de moins de 15 % en volume |
420 mg/l |
― fruits en
boîte ou en bocal, à valeur énergétique réduite, ou sans sucre ajouté |
600 mg/kg |
―
préparations de fruits et légumes à valeur énergétique réduite |
600 mg/kg |
― conserves
de fruits et légumes aigres-douces |
600 mg/kg |
― conserves
et semi-conserves aigres-douces de poissons et marinades de poissons,
crustacés et mollusques |
600 mg/kg |
―
Feinkostsalat |
600 mg/kg |
― moutarde |
600 mg/kg |
―
préparations complètes de régime contre
la prise de poids destinées à remplacer un repas ou le régime
alimentaire d'une journée |
600 mg/kg |
―
préparations complètes et apports nutritionnels à prendre sous
surveillance médicale |
600 mg/kg |
―
compléments alimentaires liquides |
450 mg/kg |
―
compléments alimentaires solides |
1 440 mg/kg |
―
compléments alimentaires à base de vitamines et/ou éléments minéraux
sous forme de sirop ou à mâcher |
3 750 mg/kg |
Jean Hudon a écrit:
Le 28 août1999 avait été décrété "Journée mondiale de sensibilisation aux méfaits de l'aspartame" par Betty Martini, la fondatrice du mouvement Mission Possible International qui fait campagne depuis des années pour faire connaître les graves méfaits pour la santé occasionnés par la consommation, le plus souvent à notre insu, d'un succédané artificiel du sucre appelé aspartame.
La liste des problèmes de santé qu'il entraîne est ahurissante et le pire c'est que l'aspartame se retrouve dans des milliers d'aliments transformés et de breuvages et même comme agent sucrant dans des vitamines et autres suppléments sans que ça ne soit indiqué sur l'emballage! Certains ont même fait circuler des informations selon lesquelles l'aspartame est ajouté au sucre blanc et dans un tas de friandises dont le chocolat pour en augmenter le goût sucré et ainsi réduire les quantités de sucre entrant dans la recette et donc le coût de revient de l'aliment produit. Assez dément non quand on sait que l'aspartame est un puissant neurotoxique dont l'approbation en 1981 par la Food and Drug Administration (FDA) américaine pour l'alimentation humaine (et ensuite par Santé et Bien-être Canada et toutes les autres agences gouvernementales équivalentes dans les autres pays) s'est fait en dépit d'études démontrant ses effets néfastes et ultimement mortels.
Et tenez-vous bien, il y a quelques années la FDA a publié un rapport gardé confidentiel faisant état de plus de 10,000 plaintes déposées par des consommateurs énumérant plus 92 symptômes liés à la consommation d'aspartame dont notamment les migraines, des difficultés d'élocution, une baisse marquée de l'acuité visuelle, le vertige, des difficultés à marcher, la précipitation de la maladie d'Alzheimer, le lupus, la sclérose en plaque, la stérilité, des tumeurs dans le cerveau, les testicules, les ovaires, l'utérus et le pancréas, le diabète, l'impotence, les accès de rage, dépressions et tendances suicidaires et ultimement la mort. En dépit de son instabilité chimique puisque l'aspartame se décompose en méthanol (alcool de bois), en DKP (causant des tumeurs au cerveau) et en formaldéhyde lorsqu'exposé à des températures excédant 86 degré Fahrenheit (=30 °C) la FDA a approuvé son usage dans la cuisson en 1993. Utilisé massivement dans tous les breuvages diététiques (Coke Diététique, Diététique Pepsi, etc.), il suffit dont que les bouteilles séjournent quelques heures dans un entrepôt ou un véhicule de transport non-réfrigéré et exposé au soleil et donc à des températures excédant 30°C (ce qui est très fréquent en été) (ou tout simplement dans un estomac humain...) pour que l'aspartame qu'elles contiennent se transforme en un poison mortel qui agit insidieusement pour engendrer toute une flopée de symptômes et de maladies (on attribue même le fameux Syndrome de la Guerre du Golfe à la consommation par les G.I. américains de Coke Diététique et Diététique Pepsi entreposé pendant des semaines à la chaleur torride du désert saoudien) que jusqu'à tout récemment personne ne pensait à relier à la consommation d'aspartame...
Maintenant, vous le savez...
« Mais ça ne se peut pas, » pensez-vous, « que la FDA approuve un tel poison. » Et bien justement, selon des informations recueillies par les activistes qui demandent qu'on bannisse à tout jamais ce produit sorti tout droit des cuisines de l'enfer, le comité chargé d'étudier les demandes d'approbation de nouveaux produits de la FDA s'est refusé pendant 16 ans à approuver ce produit en raison des études démontrant sa nocivité. Mais l'ancien président Ronald Reagan, un ami de la compagnie Searle qui a concocté l'aspartame (Searle a depuis été rachetée par Monsanto Chemical, la même multinationale qui "pousse" partout dans le monde la culture des dangereux aliments transgéniques), a mis à la porte de la FDA le commissaire en chef qui bloquait l'approbation de l'aspartame et nommé à sa place le Dr. Arthur Hull Hayes qui lui n'a pas eu la moindre hésitation à imposer en 86 l'approbation de l'aspartame en dépit de l'opposition véhémente de tous les membres du Comité d'évaluation dont les recommandations ont pris le chemin de la poubelle. Peu après ce triste personnage était engagé par la firme de relations publiques de Searle avec un salaire, affirme la rumeur, de 1 000 dollars US par jour.
Quelles conclusions peut-on tirer de tout cela?
* Que le système censé nous protéger ne fonctionne pas car la corruption et le pouvoir omniprésent du lobby des riches et des puissants règne partout.
* Que le seul moyen de s'assurer d'une alimentation saine est de ne consommer que des aliments certifiés biologiques (en cultivant son jardin par exemple...) ou fabriqués par des compagnies ayant à l'évidence une certaine conscience écologique et sociale - ce dont la majorité des multinationales manquent cruellement.
* Que les médias traditionnels ne font que peu ou pas leur boulot de nous informer de ces magouilles, sans doute parce que trop souvent les intérêts financiers ou politiques qui contrôlent les salles de rédaction font partie de la même mafia politico-financière internationale qui étend de plus en plus son emprise à l'ensemble de la planète.* Et enfin que le temps serait peut-être venu pour les citoyens de prendre leur avenir en main et de cesser de faire aveuglément confiance au "Système" capitaliste dont la faillite morale n'a d'égal que la voracité effroyable avec laquelle il dévore ce qui reste des ressources et écosystèmes exsangues de la planète pour le profit personnel des quelques 300 multi-milliardaires du monde qui à eux seuls possèdent autant de richesses que la moitié la plus pauvre de l'humanité...
Si nous ne voulons pas tous finir comme des pions interchangeables et jetables après usage dans la machine à profit des grands, il est grand temps de cesser de marcher dans leur système et de "partir" le nôtre fondé sur l'amour, la compassion et le partage. Un projet "idéaliste" à souhait, mais avons-nous une alternative?...
Et dorénavant sucrez-vous le bec naturellement!
Jean Hudon
Coordonnateur du Réseau Arc-en-ciel de la Terre
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