Les
documents originaux se trouvent à adresse suivante: http://www.earthrainbownetwork.com/SectionFR2.htm Aspartame: le mal caché du siècle L'amère vérité sur l'aspartame Conférence mondiale sur l'environnement et de la foncdation pour la sclérose en plaques |
Les
substituts du sucre à base
d'aspartame causent des
symptômes
inquiétants allant de la perte de mémoire
jusqu'à des tumeurs au
cerveau. Mais en dépit de l'approbation par la FDA (Food
& Drug
Administration - organisme de certification et de contrôle
des aliments
et médicaments aux États-Unis) le
plaçant au tableau des additifs
alimentaires "sans danger", l'aspartame est l'une des substances les
plus dangereuses jamais imposées à un public sans
méfiance.
Extrait du Nexus Magazine, Volume 2,
28 (Oct-Nov 95) et Volume 3,
1 (Déc 95-Janv 96) © 1995 par Mark D. Gold, 35
Inman St, Cambridge, MA 02139, USA Tél: (617) 497 7843,
mgold@tiac.net
Page principale de Mark Gold sur l'aspartame (en anglais
seulement):
http://www.HolisticMed.com/aspartame/
Repris avec la permission de Blazing Tattles, Vol. 4, Nos. 4,
5, 6,
Avril-Juin 1995 PO Box 1073, Half Moon Bay, CA 94019 USA.
Tél: (415)
712 0772, Fax: (415) 712 8547; blazing@crl.com
Dans le mensuel “Blazing Tattles”, vous
aurez des dossiers sur la
pollution et votre santé, le climat, et les
écosystèmes. de
l'information pour les consommateurs, les médias; les
séquelles de la
Guerre du Golfe et plus encore... Du travail sérieux!
aspartame est le terme technique pour les marques portant le
nom de
NutraSweet, Canderel, Equal, Spoonful et Equal-Measure. L'aspartame fut
découvert accidentellement en 1965, lorsque James Schattler,
un
chimiste de G.D. Searle Company, était en train de tester un
médicament
antiulcère. L'aspartame fut autorisé pour les
aliments secs en 1981 et
pour les boissons gazeuses en 1983. Il fut au début
approuvé pour les
aliments secs le 26 juillet 1974, mais en raison d’objections
émises
par le Dr. John W. Olney, chercheur en science neurologique, et par
l'Avocat général à la consommation,
James Turner, en août 1974, et
suite à des enquêtes sur les pratiques de
recherche de G.D. Searle, la
Food and Drug Administration (FDA) américaine a dû
retarder son
approbation de l'aspartame (5 décembre 1974). En 1985,
Monsanto a
acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The
NutraSweet
Company en filiales distinctes.
L'aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur
le marché
à être ajoutée aux aliments.
L'aspartame est tenu pour responsable de
plus de 75% des réactions défavorables aux
additifs alimentaires dont
il a été fait rapport à la FDA. Bon
nombre de ces réactions sont très
sérieuses, y compris des attaques d’apoplexie et
la mort ainsi qu'il en
a été fait récemment état
dans un rapport de février 1994 du Department
of Health and Human Services. (1) Quelques-uns des 90
symptômes
répertoriés et
énumérés dans le rapport comme
étant causés par
l'aspartame incluent : Maux de tête/migraines,
étourdissements, crises
d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes
musculaires, gains de
poids, irritations cutanées, dépression, fatigue,
irritabilité,
tachycardie, insomnie, problèmes visuels, perte d'ouie,
palpitations
cardiaques, difficultés respiratoires, crises
d'anxiété, difficultés
d'élocution, perte du goût, goût de fer,
vertige, perte de mémoire et
douleurs articulaires.
Selon les chercheurs et les médecins
étudiant les effets indésirables
de l'aspartame, les maladies chroniques suivantes peuvent
être causée
ou aggravées par l'ingestion d'aspartame: (2) tumeurs au
cerveau,
sclérose en plaques, épilepsie, syndrome de
fatigue chronique, maladie
de Parkinson, maladie d'Alzheimer, retard mental, lymphome,
malformations congénitales, fibromalgie et
diabètes.
L'aspartame est composé de trois produits
chimiques : l'acide
aspartique, la phénylalanine et le méthanol. Le
livre "Prescription for
Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range l'aspartame dans
la catégorie des "poisons chimiques". Comme vous allez le
voir, c'est
exactement ce qu'il est.
L'ACIDE ASPARTIQUE (40% DE L'ASPARTAME) Le Dr. Russell L.
Blaylock,
professeur en neurochirurgie à la Medical University of
Mississippi, a
récemment publié un ouvrage détaillant
in extenso les dommages causés
par l'ingestion excessive d'acide aspartique issu de l'aspartame.
[Quatre vingt dix neuf pour cent du glutamate de monosodium 9MSG est de
l'acide glutamique. Les dommages qu'il cause sont également
documentés
dans le livre de Blaylock.] Blaylock fait mention de près de
500
références scientifiques afin de
démontrer comment un excès d'acides
aminés libres excitateurs tels que l'acide aspartique et
l'acide
glutamique dans notre alimentation sont cause de sérieux
désordres
neurologiques chroniques et d'une myriade d'autres symptômes
aigus. (3)
RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT
L'ASPARTAME (ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES
DOMMAGES L'aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs
dans le cerveau en facilitant la transmission de l'information entre
les neurones. Trop d'aspartame ou de glutamate dans le cerveau
détruit
certains neurones en autorisant l'invasion excessive de calcium dans
les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de
radicaux
libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut
être causée par le glutamate et l'aspartame en
excès est la raison pour
laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent la
mort des cellules nerveuses.
L'acide aspartique est un acide aminé. Pris sous
sa forme libre (non
relié aux protéines), il
élève d'une façon significative le
niveau de
plasma sanguin en aspartame et glutamate. L'excès
d'aspartame et de
glutamate dans le plasma sanguin, peu après l'ingestion
d'aspartame ou
de produits contenant de l'acide glutamique libre
(précurseurs du
glutamate), provoque une élévation du niveau de
ces neurotransmetteurs
dans certaines zones du cerveau.
La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain
Barrier [BBB]) qui
normalement protège le cerveau d'un excès de
glutamate ou d'aspartame,
aussi bien que de toxines, 1) n'est pas complètement
développée pendant
l'enfance, 2) ne protège pas complètement toutes
les régions du
cerveau, 3) est endommagée par un nombre de conditions
chroniques et
aiguës et 4) permet l'infiltration d'un excès de
glutamate et
d'aspartame dans le cerveau, même lorsqu'elle est intacte.
L'excès de glutamate et d'aspartame commence
lentement à détruire les
neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses
d'une zone
particulière du cerveau sont tuées avant
même que les symptômes
cliniques d'une maladie chronique ne soient
décelés. Quelques unes des
nombreuses maladies chroniques dont il a été
démontré qu'elles sont
causées par une exposition à long terme au
dommage des excitotoxines
comprennent : la sclérose en plaques, ALS, perte de
mémoire, problème
hormonaux, perte d'audition, crises d'épilepsie, maladie
d'Alzheimer,
maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du
Sida, lésions du cerveau
et désordres neuroendocrinaux.
Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes
enceintes,
personnes âgées et les personnes avec des
problèmes de santé chroniques
causés par les excitotoxines sont grands. Même la
Federation of
American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise
habituellement les problèmes et se conforme à la
ligne de conduite de
la FDA, a déclaré récemment "qu'il
était prudent d'éviter l'utilisation
de suppléments diététiques d'acide
L-glutamique chez les femmes
enceintes, les nourrissons et les enfants. L'existence d'une
évidence
d'effets secondaires potentiels endocrinaux, tels qu'une prolactine et
une cortisolie élevée et des réponses
différentielles entre hommes et
femmes, suggéreraient également un lien
neuroendocrinal et qu'un
supplément d'acide L-glutamique devrait être
évité par les femmes en
âge de procréer et les individus atteints de
désordres affectifs." (4)
L'acide aspartique de l'aspartame possède les même
effets délétères sur
le corps que l'acide glutamique.
Le mécanisme exact des réactions
aiguës à l'excès du glutamate et de
l'aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu'il en
est fait
état par la FDA, ces réactions incluent: (5) Maux
de tête/migraines,
nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque
l'entrée suffisante de
glucose dans le cerveau), problèmes du sommeil,
problème de vision,
attaque d'anxiété, dépression et
asthme/oppression respiratoire.
Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des
effets de
l'aspartame est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987,
G.D.Searle,
le fabricant de l'aspartame, entreprit une recherche sur un
médicament
pouvant combattre les pertes de mémoire causées
par les dommages dus
aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l'un des
nombreux
scientifiques et médecins intéressés
par les dommages causés par les
excitotoxines dus à l'ingestion d'aspartame et de MSG.
Quelques-uns des
nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages
causés par
l'aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D.,
psychologue expérimental, spécialisée
en recherche conceptuelle. De
même, Olney, professeur dans le département de
psychiatrie, School of
Medecine, Washington University, neuroscientifique et chercheur et
l'une des autorités les plus représentatives en
matière
d'excitotoxines. (Il informa Searle en 1971 que l'acide aspartique
causait des trous dans le cerveau des souris). Également,
Francis J.
Waickman, Docteur en médecine, à qui a
été attribué le Rinkel and
Forman Awards et diplômé par le Conseil en
pédiatrie, allergies et
immunologie.
D'autres scientifiques concernés sont : John R.
Hain, Docteur en
médecine, Diplômé par le Conseil en
pathologie de médecine légale et
H.J. Roberts, M.D., FACP, FCCP, spécialiste du
diabète et sélectionné
par une publication médicale nationale comme "Le meilleur
docteur aux
États-Unis".
De même, John Samuels est concerné. Il
compila une liste de recherches
scientifiques suffisante pour montrer les dangers de l'ingestion
excessive d'acide aspartique et glutamique libre. Et il y en a d'autres
encore, nombreux, qui peuvent être ajoutés
à cette longue liste.
PHÉNYLALANINE (50% DE L'ASPARTAME) La
phénylalanine est un acide aminé
qui est normalement présent dans le cerveau. Les personnes
souffrant du
désordre génétique, phenylketonuria
(PKU), ne peuvent pas métaboliser
la phénylalanine. Ceci conduit à des hauts
niveaux dangereux de
phénylalanine dans le cerveau (parfois mortels). Il a
été démontré que
l'ingestion d'aspartame, particulièrement avec des hydrates
de
carbones, peut provoquer des niveaux excessifs de
phénylalanine dans le
cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de PKU.
Ceci n'est
pas une simple théorie, car de nombreuses personnes ayant
mangé de
grandes quantités d'aspartame au cours d'une longue
période de temps et
ne souffrant pas de PKU, ont été reconnues
possédant des niveaux
excessifs de phénylalanine dans le sang. Des niveaux
excessifs de
phénylalanine dans le cerveau peuvent amener une
décroissance du niveau
de sérotonine dans le cerveau, conduisant à des
désordres émotionnels
comme la dépression. Il a été
démontré au cours de tests sur l'homme
que les niveaux de phénylalanine dans le sang
étaient accrus d'une
façon significative chez les sujets humains ayant
utilisé chroniquement
l'aspartame. (6) Même une seule prise d'aspartame fait monter
les
niveaux de phénylalanine. Dans son témoignage
devant le Congrès
américain, le Dr. Louis J. Elsas démontra qu'une
haute teneur en
phénylalanine dans le sang peut se concentrer dans des
parties du
cerveau et est particulièrement dangereuse pour les
nourrissons et les
foetus. Il a également démontré que la
phénylalanine est métabolisée
bien plus efficacement par les rongeurs que par les humains. (7)
La prise en compte d'un cas de niveaux de
phénylalanine extrêmement
élevés provoqués par l'aspartame a
été publiée récemment par
le
"Wednesday Journal" dans un article intitulé "An aspartame
Nightmare"
(un cauchemar à l'aspartame). John Cook commença
par boire 6 à 8
boissons light par jour. Ces symptômes
débutèrent par des pertes de
mémoire et de fréquents maux de tête.
Il continua par développer un
besoin accru de boissons édulcorées à
l'aspartame. Sa condition
physique se détériora tellement qu'il connu des
changements d'humeur
importants et de violentes colères. Alors même
qu'il ne souffrait pas
de PKU, un examen sanguin révéla un niveau de
phénylalanine de 80
mg/dl. Il dévoila également une fonction
cérébrale anormale et une
détérioration du cerveau. Après avoir
interrompu sa consommation
d'aspartame, ses symptômes se sont
améliorés radicalement.(8)
Ainsi que Blaylock le souligne dans son ouvrage, les
premières études
mesurant l'accumulation de phénylalanine dans le cerveau
étaient
défectueuses. Les chercheurs qui la mesurèrent
dans des régions
spécifiques du cerveau et non la moyenne dans tout le
cerveau notèrent
des hausses significatives des niveaux de phénylalanine.
Spécifiquement, les régions de l'hypothalamus,
medulla oblongata et
corpus striatum du cerveau avaient l'augmentation la plus importante en
phénylalanine. Blaylock poursuit en soulignant que
l'augmentation
excessive de phénylalanine dans le cerveau peut causer de la
schizophrénie ou rendre les personnes susceptibles de
souffrir d'une
attaque d'apoplexie.
Ainsi, une utilisation excessive, à long terme, de
l'aspartame peut
mener à une accélération des ventes
des inhibiteurs à la sératonine tel
que le Prozac et des médicaments pour contrôler la
schizophrénie et les
attaques.
MÉTHANOL (ALCOOL DE BOIS D'AKA/POISON) (10% DE
L'ASPARTAME) Le
Méthanol/alcool de bois est un poison mortel. Certaines
personnes
peuvent se rappeler du méthanol comme étant le
poison qui a été à
l'origine de la perte de la vue, ou de la mort, de certains alcooliques
"risque-tout". Le méthanol est graduellement
libéré dans l'intestin
grêle lorsque l'aspartame du groupe méthyle
rencontre l'enzyme
chymotryspine.
L'absorption du méthanol par l'organisme est
accélérée considérablement
lorsque du méthanol libre est ingéré.
Le méthanol libre est créé
à
partir de l'aspartame lorsqu'il est chauffé au-dessus de
30°
centigrade. Ceci s'opère lorsque le produit contenant de
l'aspartame
est incorrectement stocké ou lorsqu'il est
chauffé (par exemple, comme
composant d'un produit "alimentaire" tel que le Jello). Le
méthanol se
décompose dans le corps en acide formique et en
formaldehyde. Le
formaldehyde est une neurotoxine mortelle. Une évaluation du
méthanol
établie par l'EPA déclare que le
méthanol "est considéré comme poison
cumulatif compte tenu de la faible proportion qui en est
éliminée une
fois qu'il est absorbé. Dans l'organisme, le
méthanol s'oxyde en
formaldehyde et en acide formique; chacun de ces deux
métabolites sont
toxiques." Il est recommandé une limite de consommation de
7.8 mg/jour.
Un litre de boisson édulcorée à
l'aspartame contient environ 56 mg de
méthanol. Les gros utilisateurs de produits contenant de
l'aspartame
consomment jusqu'à 250 mg de méthanol
quotidiennement ou 32 fois la
limite fixée par l'EPA. (9)
Les symptômes d'un empoisonnement au
méthanol sont des maux de tête,
bourdonnement d'oreilles, dérangements gastro-intestinaux,
faiblesse,
vertige, frissons, trous de mémoire, engourdissement et
douleurs
fulgurantes des extrémités, troubles du
comportement et névrite. Les
problèmes les plus connus d'un empoisonnement au
méthanol sont les
problèmes de la vue comprenant vision embrumée,
rétrécissement
progressif du champ visuel, vision voilée, vision obscurcie,
dommages
rétiniens et perte de la vue. Le formaldehyde est un
cancérigène connu,
il cause des dommages à la rétine, s'oppose
à la reproduction de l'ADN
et cause des malformations congénitales. (10)
Étant donné l'absence de certains
enzymes clefs, les humains sont
beaucoup plus sensibles aux effets toxiques du méthanol que
les
animaux. Par conséquent, des tests d'aspartame ou de
méthanol sur des
animaux ne reflètent pas précisément
les dangers encourus par les
humains. Ainsi que le souligne le Dr. Woodrow C. Monte, Directeur du
Food Science and Nutrition Laboratory à
l'Université de l'État de
l'Arizona, « Il n'existe aucune étude sur les
humains ou les mammifères
pour évaluer les effets mutagène,
tératogène ou cancérigène
possibles
conséquentes à l'administration chronique de
l'alcool de méthyle. » (11)
Il se sentit tellement concerné en voyant les
conclusions sur la
sécurité demeurer sans solutions qu'il adressa
une requête à la FDA
réclamant une audition afin de discuter de ces
résultats. Il demanda à
la FDA de « ralentir la publication des conclusions
concernant les
boissons sucrées assez longtemps afin qu'il soit possible de
répondre à
quelques-unes des questions essentielles. Il n'est pas juste que vous
laissiez tout le poids de l'authentification sur le petit nombre que
nous représentons alors que nous possédons des
ressources tellement
limitées. Vous ne devez pas oublier que vous êtes
l'ultime défense du
public américain. Une fois que vous en aurez
autorisé l'usage (de
l'aspartame), il n'y aura littéralement plus rien que moi ou
mes
collègues ne pourrons faire pour inverser le processus.
L'aspartame
rejoindra alors la saccharine, les agents sulfites et Dieu sait encore
combien d'autres composants contestables prescrits pour insulter la
constitution humaine avec l'approbation du gouvernement. »
(10) Peu de
temps après, le commissaire à la FDA, Arthur Hull
Hayes, Jr. approuva
l'utilisation de l'aspartame dans les boissons gazeuses, puis il fut
engagé par une société de relations
publiques de la G.D. Searle. (11)
Il a été souligné que
certains des jus de fruits et des boissons
alcoolisées contiennent de petites quantités de
méthanol. Il est
important de se rappeler, cependant, que le méthanol
n'apparaît jamais
seul. Dans tous les cas, l'éthanol est présent,
usuellement en plus
grandes quantités. L'éthanol est un antidote
à la toxicité du méthanol
chez l'homme. (9) Les hommes des troupes de l'opération
"Desert Storm"
(guerre du Golfe) furent "régalées" avec de
grandes quantités de
boissons édulcorées à l'aspartame qui
avaient été chauffées à
plus de
30° centigrades par le soleil de l'Arabie Saoudite. Beaucoup
d'entre
eux en revinrent avec de nombreux désordres similaires
à ceux trouvés
chez des individus qui avaient été chimiquement
empoisonnés par le
formaldehyde. Le méthanol libre dans ces breuvages peut
avoir été un
facteur contribuant à ces maladies. D'autres produits
dérivés de
l'aspartame tel que le DKP (voir ci-dessus) peut également
avoir été un
facteur. En 1993, dans un acte qui peut être
décrit comme
"inconscient", le FDA approuva l'aspartame comme ingrédient
dans un
certain nombre d'articles d'alimentaires qui seraient toujours
chauffés
au-dessus de 30° centigrades.
DIKETOPIPERAZINE (DKP) La DKP est un produit
dérivé de la
métabolisation de l'aspartame. La DKP a
été impliquée dans l'apparition
de tumeurs au cerveau. Olney a remarqué que la DKP,
lorsqu'elle était
nitroazotée dans l'intestin, produisait un composant qui
était
similaire au N-nitrosourea, un composant chimique puissant causant des
tumeurs au cerveau. Certains auteurs ont dit que la DKP est produite
après ingestion de l'aspartame. Je ne suis pas sûr
que ce soit correct.
Il est définitivement vrai que la DKP est formée
dans des produits
liquides contenant de l'aspartame au cours d'un stockage
prolongé.
G.D. Searle a conduit une expérimentation sur des
animaux pour vérifier
la sûreté de la DKP. La FDA releva un certain
nombre d'erreurs, y
compris « des erreurs d'écriture, d'animaux
mélangés, d'animaux à qui
on n'administrait pas la drogue qu'ils étaient
supposés prendre, de
perte de spécimens pathologiques due à une
mauvaise manipulation » et
de nombreuses autres erreurs. (12) Ces procédures de
laboratoires
négligentes peuvent expliquer pourquoi les animaux servant
aux tests et
ceux servant de groupe contrôle avaient seize fois plus de
tumeurs au
cerveau que le nombre auquel on pourrait s'attendre au cours
d'expérimentations de cette durée.
Par un tour du sort, très peu de temps
après la découverte de ces
erreurs d'expérimentation, la FDA utilisa des protocoles
recommandés
par G.D. Searle pour développer les standards industriels de
la FDA
pour les pratiques des laboratoires alimentaires. (11) La DKP a
également été impliquée
comme ayant causé des polypes utérins et des
modifications du taux de cholestérol par le Dr. Jacqueline
Verrett,
toxicologue de la FDA, dans sa déposition devant le
Sénat des
États-Unis. (13)
ALIMENTS RÉSULTANT DE L'ASPARTAME
Les composants de l'aspartame peuvent entraîner
l’apparition d’une
foule de maladies diverses. Quelques-unes apparaissent graduellement,
d'autres sont immédiates, avec des réactions
aiguës.
Il y a une énorme population d'individus qui
souffrent de symptômes
attribués à l'aspartame et cependant ils ne
comprennent pas pourquoi
les plantes ou les médicaments ne parviennent pas
à les soulager de
leurs problèmes. Il y a d'autres utilisateurs d'aspartame
qui
paraissent ne pas souffrir de réactions
immédiates à l'aspartame. Mais
même ces individus sont susceptibles à long terme
de souffrir des
dommages causés par les acides aminés
excitateurs, la phénylalanine, le
méthanol et la DKP. Quelques-uns des nombreux
désordres qui
m'inquiètent particulièrement incluent les
suivants.
malformations congénitales
Le Dr. Diana Dow Edwards, un chercheur, fut
commanditée par Monsanto
afin d'étudier les possibilités de malformations
congénitales causées
par l'ingestion d'aspartame. Après qu'une information
préliminaire ait
fait état d'informations négatives au sujet de
l'aspartame, les fonds
alloués à la recherche furent retirés.
Un pédiatre génétique à
Emory
University a attesté que l'aspartame causait des
malformations
congénitales. 7360-367
Dans le livre "While Waiting" (En attendant) : un guide
prénatal de
George R. Verrilli, M.D. et Anne Marie Mueser, il est fait
état que
l'aspartame est soupçonné de causer des dommages
au cerveau des
individus sensibles. Ces effets peuvent faire courir un risque
à un
foetus. Des chercheurs ont suggéré que de grandes
doses d'aspartame
peuvent être associées à des
problèmes allant d'étourdissements et de
modifications subtiles du cerveau à des retards mentaux.
Cancer (Cancer du cerveau) En 1981, Satya Dubey, un
statisticien du
FDA, déclara que l'information concernant l'aspartame et les
tumeurs au
cerveau était si "préoccupante" qu'il pourrait ne
pas recommander
l'autorisation du NutraSweet. (14) Au cours d'une étude
menée sur une
période de deux ans et conduite par le fabricant de
l'aspartame, douze
des 320 rats nourris normalement et à l'aspartame
développèrent des
tumeurs au cerveau alors qu'aucun des rats de contrôle
n'eurent de
tumeurs. Cinq des douze tumeurs furent trouvées sur des rats
nourris
avec de faibles doses d'aspartame. (15) L'autorisation de l'aspartame
fut une violation de l'amendement Delaney (aux États-Unis)
qui était
censé prémunir contre l'introduction dans notre
alimentation de
substances cancérigènes tel que le
méthanol (Formaldehyde) et la DKP.
Feu le Dr. Adrian Gross, un toxicologue de la FDA, affirma dans son
témoignage devant le Congrès américain
que l'aspartame était capable de
provoquer des tumeurs au cerveau. Il devint illégal pour la
FDA d'en
permettre une prise quotidienne, quelqu'en soit la dose. Il
établit
dans sa déposition que les études de la compagnie
Searle étaient « dans
une large mesure, sujettes à caution » et que
« au moins, une de ces
études avait établi au-delà de tout
doute raisonnable que l'aspartame
est capable d'induire des tumeurs au cerveau des animaux
d'expérience... » Il conclut sa
déposition en demandant, « Quelle peut
être la raison de l'apparent refus de la FDA d'invoquer pour
cet
additif alimentaire le bien-nommé amendement Delaney sur la
loi
concernant l'alimentation, les médicaments et les
cosmétiques?... Et si
la FDA elle-même décide de violer la loi, que
reste-t-il pour protéger
la santé du public? » (16)
Au cours des années 70, on découvrit
que le fabricant de l'aspartame
avait falsifié des études de plusieurs
façons. Une des techniques
utilisées était de supprimer les tumeurs apparues
sur les animaux
soumis aux tests et de les remettre en circulation dans le groupe
d'étude. Une autre technique employée pour
falsifier ces études étaient
de faire figurer sur les listes, des animaux morts comme ayant
survécu
aux tests. Ainsi, l'information concernant les tumeurs du cerveau
était
encore pire qu'on aurait pu le croire
précédemment. De plus, un ancien
employé du fabricant de l'aspartame, Raymond Schroeder,
informa la DPA
le 13 juillet 1977 que les particules de DKP étaient en si
grandes
quantités que les rats pouvaient faire la
différence entre le DKP et
leur alimentation normale. (12)
Il est intéressant de noter que l'indice des
tumeurs au cerveau chez
les personnes de plus de 65 ans s'est accrue de 67% entre les
années
1973 et 1990. Les tumeurs au cerveau dans les groupes de tous
âges se
sont accrues de 10%. La croissance la plus importante
s'opéra au cours
des années 1985-1987. (17)
Dans cet ouvrage « aspartame (NutraSweet). Est-ce
sain? », le Dr.
Roberts apporte des preuves selon lesquelles l'aspartame peut causer
une forme particulièrement dangereuse de cancer : le
lymphome primaire
du cerveau.
Le diabète
L'American Diabetes Association (ADA) va même
jusqu’à recommander ce
poison chimique à des personnes souffrant du
diabète. Selon la
recherche menée par H.J. Roberts, diabétologue,
membre de l'ADA et
faisant autorité dans l'étude des
édulcorants artificiels, l'aspartame
: 1) conduit à une accélération des
diabètes cliniques. 2) est la cause
d'une difficulté de contrôle du diabète
chez les diabétiques
insulino-dépendants ou traités par voie orale. 3)
conduit à
l'aggravation des complications du diabète telle que la
rétinopathie,
les cataractes, la neuropathie et la gastroparésie. 4) cause
des
convulsions.
Dans une déclaration concernant l'utilisation des
produits contenant de
l'aspartame par des personnes souffrant de diabète et
d'hypoglycémie,
Robert dit : « Malheureusement, bon nombre de mes
patients habituels et
d'autres vus en consultation, développent de
sérieuses complications
métaboliques, neurologiques et autres qui pourraient
être
spécifiquement attribuées à l'usage
des produits contenant de
l'aspartame. Ceci fut mis en évidence par : la perte du
contrôle du
diabète, l'intensification de l'hypoglycémie,
l'apparition de
soi-disant "réactions à l'insuline" (y compris
des convulsions) qui en
fait furent reconnues comme des réactions à
l'aspartame et la
précipitation, l'aggravation ou la simulation de
complications
diabétiques (spécialement une diminution de la
vue et de la
neuropathie) pendant l'utilisation de ces produits. Une
amélioration
frappante de ces symptômes se révéla
après l'éviction de l'aspartame et
la prompte et prévisible récurrence de ces
problèmes lorsque le patient
reprenait des produits à l'aspartame, consciemment ou par
inadvertance. » Roberts poursuit ainsi : «
Je regrette l’omission des
autres médecins et de l'American Diabetes Association (ADA)
d’émettre
les avertissements appropriés aux patients et aux
utilisateurs basés
sur ces découvertes
répétées qui ont
été décrites dans mes
études
exemptes de toute influence corporative et dans mes publications.
»
Baylock déclara que des excitotoxines telles que
celles trouvées dans
l'aspartame peuvent accélérer le
diabète chez des sujets qui sont
génétiquement susceptibles de souffrir de cette
maladie. (5)
Désordres émotionnels
Une étude “en double aveugle”
sur les effets de l'aspartame sur des
sujets souffrant de désordres émotionnels fut
récemment menée par le
Dr. Ralph G. Walton. Étant donné que
l'étude ne fut pas
commanditée/contrôlée par les
fabricants d'aspartame, la compagnie
NutraSweet refusa de lui vendre de l'aspartame. Walton fut
obligé de
s'en procurer et de le faire certifier par une source
extérieure.
L'étude démontra une croissance importante de
graves symptômes chez les
personnes prenant de l'aspartame. Certains de ces symptômes
étaient si
graves que l'Institutional Review Bord se trouva dans l'obligation
d'arrêter l'étude. Trois des participants avaient
dit qu'ils avaient
été "empoisonnés" par l'aspartame.
Walton conclut que « des individus
sujets à des désordres émotionnels
sont particulièrement sensibles à
cet édulcorant artificiel; son utilisation par cette
population devrait
être découragée. » (18)
Conscient que l'expérimentation ne pourrait pas
être répétée compte tenu du
danger encouru par les sujets soumis aux
tests, Walton fut cité récemment comme disant :
« Je sais que cela
provoque des crises d'apoplexie. Je suis convaincu également
que cela
provoque avec certitude des modifications comportementales. Je suis
très en colère de voir cette substance sur le
marché. Je mets
personnellement en cause la validité et la
véracité de n'importe
laquelle des études commanditées par NutraSweet
Company. » (19)
Il est fait état de nombreux cas de faibles
niveaux de sérotonine
cervicale, de dépressions et autres désordres
émotionnels qui ont été
reliés à l'aspartame et qui sont souvent
soulagés en arrêtant la
consommation d'aspartame. Des chercheurs ont souligné que
l'augmentation des niveaux de phénylalanine dans le cerveau,
qui peut
arriver et arrive chez des sujets ne souffrant pas de PKU, provoque une
baisse du niveau de ce neuro-transmetteur (sérotonine) qui
mène à une
foule de désordres émotionnels
différents. Le Dr. William M. Pardrige
de l'UCLA déclara dans son témoignage devant le
Sénat américain qu'un
adolescent buvant quatre bouteilles de 16 onces (487 grs) de boisson
gazeuse (soda) Diète (sans sucre) par jour subit une
énorme hausse du
niveau de phénylalanine.
Épilepsie/Apoplexie
Avec le nombre important et croissant d'apoplexies
causées par
l'aspartame, il est triste de constater que l'Epilepsy Foundation fait
la promotion de la "sécurité" de l'aspartame. Au
Massachusetts
Institute of Technology (MIT), 80 personnes qui avaient souffert de
crises d'apoplexie après ingestion d'aspartame avaient
été mises en
observation. Le Community Nutrition Institute apporta les conclusions
suivantes de cette observation : « Ces 80 cas correspondent
à la
définition même de la FDA d'un risque imminent
encouru pour la santé
publique et qui entraîne normalement le retrait
expéditif d'un produit
par la FDA. »
Le magazine de l'Air Force "Flying Safety" et celui de la
Navy "Navy
Physiology" ont publié des articles mettant en garde contre
les
nombreux dangers de l'aspartame incluant les effets nocifs cumulatifs
du méthanol et les plus grandes possibilités de
malformations
congénitales. Les articles notaient que l'ingestion de
l'aspartame
pouvaient rendre les pilotes plus susceptibles à des crises
d'apoplexie
et de vertige. Vingt articles émettant des avertissements au
sujet de
l'ingestion d'aspartame pendant un vol ont pu être lus dans
le National
Business Aircraft Association Digest (NBAA Digest 1993), Aviation
Medical Bulletin (1988), The Aviation Consumer (1988), Canadian General
Aviation News (1990), Pacific Flyer (1988), General Aviation News
(1989), Aviation Safety Digest (1989) et Plane & Pilot (1990)
et un
article avertissant des dangers de l'aspartame fut
présenté au 57ème
Congrès Annuel de l'Aerospace Medical Association (Gaffney
1986).
Récemment, une ligne ouverte accessible 24 heures
sur 24 fut mise en
place pour répondre aux pilotes souffrant de
réactions aiguës à
l'ingestion d'aspartame. Plus de 600 pilotes ont
déclaré avoir eu des
symptômes incluant ceux qui mentionnés dans le
rapport à propos de
crises d'épilepsie dans leur cockpit dues à
l'aspartame. (21)
Une des premières études sur
l'aspartame fut réalisée en 1969 par un
scientifique indépendant, le Dr. Harry Waisman. Il
étudia les effets de
l'aspartame sur des bébés primates. Sur les sept
bébés singes, l'un
mourut au bout de 300 jours et cinq autres eurent des crises
d'épilepsie. Bien entendu, ces découvertes
négatives ne furent pas
soumises à la FDA au cours de la procédure
d'approbation. (22)
Pourquoi n'entendons-nous pas parler de ces
choses-là? La raison pour
laquelle les gens n'entendent pas parler des sérieuses
réactions à
l'aspartame est double : 1) Manque d'information de la population
générale. Il n'est pas fait mention dans les
journaux des maladies
causées par l'aspartame comme le sont les accidents d'avion.
Ceci parce
que ces incidents arrivent isolément dans des milliers
d'endroits
différents des États-Unis (et du monde). 2) La
plupart des gens
n'associent pas leurs symptômes à un emploi
à long terme de
l'aspartame. Pour les gens qui ont ainsi détruit un
pourcentage
important des cellules de leur cerveau et ainsi causé une
maladie
chronique, il leur est impossible de pouvoir associer cette maladie
à
la consommation d'aspartame. La façon dont l'aspartame a
été approuvé
est une leçon démontrant comment les industries
chimiques et
pharmaceutiques peuvent manipuler les organismes gouvernementaux telle
la FDA, les organisations "corrompues" telle l'American Dietetic
Association et l’ensemble de la communauté
scientifique avec des études
mal réalisées et frauduleuses soutenues par les
industriels et
financées par les fabricants d'aspartame.
Erik Millstone, un chercheur au Science Policy Research de
l'Université
du Sussex a compilé des milliers de pages de preuves,
certaines ayant
été obtenues par l'usage de la loi 23 sur la
liberté de l'information,
démontrant que : 1. des tests en laboratoires
étaient falsifiés et les
dangers dissimulés; 2. des tumeurs furent enlevés
d'animaux et des
animaux qui étaient morts furent
“ressuscités” dans les rapports de
laboratoire; 3. des déclarations fausses et trompeuses ont
été faites à
la FDA; 4. les deux juges d'instruction fédéraux
missionnés pour réunir
des charges de fraudes contre le fabricant d'aspartame furent
engagés
par le cabinet d'avocat du fabricant, laissant dépasser le
terme du
délai légal de prescription; 5. le Commissaire de
la FDA ne tint pas
compte des objections émises par le propre bureau
d’études de la FDA.
Peu de temps après cette décision, ce commissaire
accepta un poste chez
Burson-Marsteller, la société chargée
des relations publiques de G.D.
Searle.
Une commission d'enquête publique (Public Board of
Inquiry, PBOI) fut
mise en place en 1980. Elle comprenait trois scientifiques qui
étudièrent les objections d'Olney et Turner
contre l'autorisation de
l'aspartame. Ils votèrent unanimement contre l'approbation
de
l'aspartame. Le Commissaire de la FDA, le Dr. Arthur Hull Hayes, Jr.
nomma alors une commission scientifique de 5 personnes pour
étudier les
découvertes de la PBOI. Après qu'il fut clair que
la commission
confirmerait la décision de la PBOI par un vote de 3 contre
2, une
autre personne fut adjointe à la commission,
créant de ce fait une
impasse par un vote de 3 contre 3. Ceci permit au Commissaire de la FDA
de briser l’impasse et d'approuver l'aspartame pour les
aliments secs
en 1981. Le Dr. Jacqueline Verrett, doyenne scientifique d'une
commission d'étude d'un Bureau of Foods de la FDA mise en
place en août
1977 afin d'étudier le rapport Bressler (un rapport qui
décrivait les
procédures douteuses de la compagnie G.D. Searle au cours
des tests
probatoires) explique : « Il était
particulièrement évident que quelque
part le long de la chaîne, les officiels du bureau
travaillaient à une
exonération. » En 1987, le Dr. Verrett dans une
déposition devant le
Sénat Américain, déclara que les
expérimentations menées par Searle
étaient "désastreuses". Elle déclara
que son équipe fut instruite de ne
pas émettre de commentaires sur la validité des
études ni de s’en
préoccuper. Elle déclara qu'il n'avait pas
été apporté réponse
à des
questions concernant les malformations congénitales. Elle
poursuivit sa
déposition en exposant le fait qu'il avait
été démontré que la DKP
accroissait la formation de polypes utérins et augmentait le
taux de
cholestérol dans le sang et que l'augmentation de la
température du
produit mène à un accroissement de la production
de la DKP. (13)
Les "portes tournantes"
La FDA et les fabricants d'aspartame eurent un mouvement de
personnel
important pendant de nombreuses années. A part le
Commissaire de la FDA
et les deux juges d'instruction fédéraux
démissionnant pour être
engagés par des sociétés en relation
avec G.D. Searle, quatre autres
officiels de la FDA en relation avec l'approbation de l'aspartame
acceptèrent des emplois en relation avec l'industrie du
NutraSweet
entre 1979 et 1982, y compris le Commissaire
Délégué de la FDA,
l'Assistant Spécial au Commissaire de la FDA, le Directeur
adjoint du
Bureau of Foods and Toxicology et le Procureur impliqué dans
le Bureau
d'Enquête Publique (Public Board of Inquiry). (24)
Il est important de réaliser que ce
phénomène dit des "portes
tournantes" s'est répété durant des
décennies. La Townsend Letter for
Doctors (11/92) rend compte d'une étude
révélant que 37 des 49
responsables les plus importants de la FDA ont accepté des
postes dans
des compagnies au sujet desquelles ils avaient rendu des
décisions
durant leur mandat à la FDA. Elle fit également
état du fait que plus
de 150 fonctionnaires hauts placés de la FDA
possédaient des actions de
compagnies qu'ils avaient la responsabilité de surveiller.
De
nombreuses organisations et universités reçurent
des sommes très
importantes de compagnies reliées à la NutraSweet
Association, un
groupe de compagnies promouvant l'utilisation de l'aspartame. En
janvier 1993, l'American Dietetic Association reçu un don de
75 000 US$
de la NutraSweet Company. L'American Dietetic Association a
déclaré que
la NutraSweet Company rédigeait ses pages
intitulées "Des Faits". (25)
Plusieurs autres organisations et chercheurs soi-disant
"indépendants"
reçoivent des sommes importantes des fabricants d'aspartame.
L'American
Diabetes Association a reçu un montant très
important de NutraSweet,
dont notamment une somme pour le fonctionnement d'une école
culinaire à
Chicago (vraisemblablement pour enseigner aux diabétiques
comment
utiliser NutraSweet dans leur cuisine).
Un chercheur d’un état de la
Nouvelle-Angleterre qui avait souligné par
le passé les dangers de l'aspartame est maintenant un
consultant à
l’emploi de Monsanto. Un autre chercheur du sud-est des
États-Unis
avait témoigné des dangers de l'aspartame pour
les foetus. Un
journaliste d'enquête a
révélé qu'on lui a demandé
de « la fermer »
afin d'éviter la perte d'un don important en provenance d'un
fabricant
de cola diététique appartenant à la
NutraSweet Association.
Que fait la FDA pour protéger le consommateur des
dangers de l'aspartame?
Moins que rien.
En 1992, la FDA autorisa l'utilisation de l'aspartame dans
les boissons
maltées, les céréales pour petit
déjeuner et les garnitures et gâteaux
glacés. En 1993, la FDA autorisa l'utilisation de
l'aspartame dans les
bonbons durs et mous, les boissons non-alcoolisées en vogue,
les
boissons au thé, les jus de fruits et les
concentrés, les viennoiseries
et les préparations à pâtisserie, les
gelées, les crèmes et nappages
pour les pâtisseries.
En 1991, la FDA a interdit l'importation du stevia. La poudre
de cette
feuille a été utilisée pendant des
centaines d'années comme édulcorant.
Elle est largement utilisée au Japon sans aucun effet
contraire. Des
scientifiques engagés pour étudier le stevia
l'ont déclaré propre à la
consommation humaine, ce qui a été tout
à fait reconnu dans de
nombreuses régions du monde où il n'est pas
interdit. Toutes les
personnes à qui j'ai parlé de cette question
croient que le stevia a
été interdit afin qu'il ne puisse s'implanter aux
USA et réduire ainsi
les ventes de l'aspartame. (26)
Que fait le Congrès américain pour
protéger le consommateur des dangers de l'aspartame? Rien.
Que fait l'Administration américaine
(Président) pour protéger le consommateur des
dangers de l'aspartame? Rien.
La consommation d'aspartame n'est pas seulement un
problème aux USA. Il est en vente dans plus de 70 pays dans
le monde.
L'ASPARTAME PEUT ÊTRE TROUVÉ DANS : -
les petits-déjeuners instantanés
- les rafraîchisseurs d'haleine (rice-bouche) - les
céréales - les
gommes à mâcher sans sucre - les
mélanges au cacao - les boissons au
café - les desserts
réfrigérés - les desserts
gélatineux - les boissons
à base de jus de fruits - les laxatifs - les multivitamines
pour
adulter et pour enfants - les boissons au lait - les
médicaments et
suppléments nutritifs - les mélanges
mixés - les boissons non
alcoolisées - les édulcorants de table - les
boissons au thé - les thés
et cafés instantanés - les mousses et
crèmes décoratives - les glaçages
- les yaourts (yogourts)
Il m'a été dit que de l'aspartame a
été trouvé dans des produits alors
qu'il n'était pas mentionné sur la liste des
ingrédients figurant sur
l'emballage. On doit faire particulièrement attention aux
produits
pharmaceutiques et aux suppléments nutritionnels. J'ai
été informé que
même quelques suppléments fabriqués par
des fabricants connus tel que
Twinlabs contiennent de l'aspartame.
L'information présentée ici n'est que
la pointe de l'iceberg car il y a
énormément d’information
négative au sujet l'aspartame. Afin que le
lecteur puisse obtenir de plus amples informations, j'ai inclus
quelques sources ci-après.
OUVRAGES *Blaylock, Russell L., Excitotoxins : The Taste That
Kills
(Health Press, Santa Fe, New Mexico, |1994). Un des meilleurs ouvrages
disponibles sur les excitotoxines. Vaut le coup d'être lu !
*H.J.
Roberts, M.D., aspartame (NutraSweet), Is it Safe? Disponible par le
réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Sweet'ner Dearest,
disponible
par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Mary Nash
Stoddard, The
Deadly Deception, disponible par le réseau de l'aspartame
Consumer
Safety. *Barbara Mullarkey, Editeur, Bittersweet aspartame - A Diet
Delusion, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer
Safety. *The
aspartame Consumer Safety Network, The aspartame consumer Safety
Network Synopsis. *Dennis Remington, M.D. et Barbara Huga, R.D., The
Bitter Truth About Artificial Sweetners, disponible par le
réseau de
l'aspartame Consumer Safety.
ASPARTAME CONSUMER SAFETY NETWORK P.O. Box 780634 Dallas,
Texas 75378, USA Tél.: (214) 352-4268
Pour obtenir plus de renseignements (disponible en anglais
seulement),
mettez juste dans la ligne "sujet" de votre courriel : Please send me
help et envoyez-le à Betty Martini
<Mission-Possible-USA@Altavista.net> la fondatrice de
Mission
Possible International.
Mais surtout visitez http://www.dorway.com
qui contient plus de 500 pages web sur l’aspartame. Vous y
découvrirez
aussi des hyperliens avec 29 autres sites touchant le sujet. Visitez
aussi le FAQ
------------------------------------------------------------------------
REFERENCES (1) Department of Health and Human Services,
Rapport sur les
effets contraires du système de surveillance des effets
contraires, (
25 et 28 février 1994).
(2) Compilé par des chercheurs, docteurs et
experts des édulcorants
artificiels pour Mission Possible, un groupe
dédié à la mise en garde
des consommateurs quant à l'usage de l'aspartame.
(3) Excitotoxines : The Taste That Kills, par Russell L.
Blaylock, M.D.
(4) Safety of Amino Acids, Life Sciences Research Office,
FASEB, FDA Contract n° 223-88-2124, Task Order N° 8.
(5) Département de la FDA chargé de la
surveillance des réactions adverses.
(6) Wurtman et Walker, "Dietary Phenylalanine and Brain
Function",
réunions du premier meeting international sur la
Phénylalanine
diététique et la fonction du cerveau, Washington,
D.C., 8 mai 1987.
(7) Audition devant le Committee On Labor and Human Resources
du Sénat
des Etats-Unis, première session sur l'examen des
problèmes de santé et
de sécurité du NutraSweet (aspartame).
(8) Compte-rendu de John Cook publié dans Informed
Consent Magazine.
"How Safe Is Your Artificial Sweetener" par Barbara Mullarkey,
Septembre/octobre 1994.
(9) Woodrow C. Monte, PhD., R.D., "aspartame : Methanol and
the Public Health", Journal of Applied Nutrition, 36 (1):42-53.
(10) Cour d'appel des USA du Circuit du District de Columbia,
N°
84-1153 Community Nutrition Institute et le Dr. Woodrow Monte contre le
Dr. Mark Novitch, Acting Commissioner de la FDA des USA (24/9/85)
(11) Main courante sur l'aspartame par Barbara Mullarkey,
publiée dans Informed Consent Magazine, Mai/juin 1994.
(12) Brigade d'inspection de la FDA "Final Report of
Investigation of G.D. Searle Company" (24 mars 1976)
(13) Déposition du Dr. Jacqueline Verrett,
toxicologue de la FDA,
devant la commission sénatoriale des USA sur le travail et
les
Ressources Humaines, (3 novembre 1987)
(14) Mémorandum interne de la FDA
(15) Analyse préparée par le Dr. John
Olney en tant que déclaration
devant le bureau d'investigation de la FDA. Also Excitotoxins par
Russell Blaylock, M.D.
(16) Rapport d'audience au Congrès SID835:131 (1er
août 1985)
(17) Information sur le Programme de l'Institut National sur
le Cancer SEER
(18) Walton, Ralph G., Robert Hudak, Ruth Green-Waite "
Adverse
Reactions to aspartame : Double Blind Challenge in Patients from a
Vulnerable Population"; Biological Psychiatry, 1993:34:13-17
(19) Barbara Mullarkey, "How Safe Is Your Artificial
Sweetner?" numéro de Septembre/octobre 1994 de Informed
Consent Magazine.
(20) US Air Force. "aspartame Alert". Flying Safety, 48 (5)
:20-21 (Mai 1992)
(21) Rapport de l'Aspartam Consumer Safety Network.
(22) Barbara Mullarkey, "Bittersweet aspartame, A Diet
Delusion".
(23) Millstone, Eric "Sweet and Sour". The Ecologist, 25
(mars/avril 1994)
(24) Mary Nash Stoddard, éditeur, "The Deadly
Deception", aspartame Consumer Safety Network.
(25) ADA Courier, Janvier 1993, Volume 32, Numéro
1.
(26) "FDA Rejects AHPA Stevia Petition" par Mark Blumenthal,
Whole Foods, Avril 1994
CONFÉRENCE
MONDIALE
SUR L'ENVIRONNEMENT ET
DE LA FONDATION POUR LA SCLÉROSE EN PLAQUES
"La
Food and Drug Administration (FDA) accusée de
collusion avec MONSANTO"
Article de Nancy Markle (20.11.1997) sur une
conférence donnée par Betty Martini
Lors de la CONFÉRENCE MONDIALE SUR
L'ENVIRONNEMENT, j'ai passé
plusieurs jours à donner des conférences sur
l'aspartame vendu sous les
dénominations de 'NutraSweet', 'Equal', et 'Spoonful"'. Dans
la
présentation de cette conférence, ils ont
annoncé qu'il existait une
épidémie de sclérose en plaques et de
lupus systémique et qu'ils ne
comprenaient pas quelle toxine pouvait causer une
épidémie aussi
étendue dans l’ensemble des États-Unis.
J'ai expliqué que j'étais
précisément là pour parler de ce sujet.
Lorsque la température de l'aspartame
dépasse 30 degrés Celsius,
l'alcool de bois contenu dans l'aspartame se transforme en
formaldéhyde, puis en acide formique, ce qui cause de
l'acididé
métabolique. (L'acide formique est le poison
injecté par les piqûres de
fourmis). La toxicité du méthanol ressemble
à la sclérose en plaques;
d'où les gens diagnostiqués par erreur comme
souffrant de sclérose en
plaques. La sclérose en plaques n'est pas mortelle,
contrairement à
l'empoisonnement au méthanol.
Dans le cas du lupus systémique, nous
découvrons qu'il est presque
aussi étendu que la sclérose en plaques, tout
spécialement chez les
personnes qui boivent du Coke Diet et du Diet Pepsi. De plus, dans le
cas d'intoxication au méthanol, les victimes en boivent
généralement
trois à quatre bouteilles de 4 dl. par jour, certains
même davantage.
Dans les cas du lupus systémique, qui est
déclenché par l'aspartame, la
victime ne sait généralement pas que l'aspartame
en est la cause. La
victime continue à en faire usage, aggravant le lupus
à un point tel
que parfois, cela menace la vie même de la personne. Lorsque
l'on
parvient à couper toute consommation d'aspartame chez ces
gens, ceux
souffrant de lupus systémique deviennent
généralement asymptomatiques.
Malheureusement, on ne peut pas éliminer cette maladie.
Toutefois, dans le cas de personnes diagnostiquées
comme ayant la
sclérose en plaques, (alors qu'en
réalité, il s'agit d'intoxication au
méthanol), la plupart des symptômes disparaissent.
Nous avons vu des
cas où la vue et même l'ouïe sont
revenues. Cela s'applique aussi aux
cas d'acouphène.
Lors d'une conférence, j'ai dit "Si vous utilisez
de l'aspartame
(NutraSweet, Equal, Spoonful, etc.) et que vous souffrez de
symtômes de
fibromyalgie, de spasmes, de douleurs lancinantes, d'engourdissements
des jambes, de crampes, de vertige, de maux de tête,
d'acouphène, de
douleurs aux articulations, de dépression, d'attaques
d'anxiété, de
problèmes d'articulation vocale, de troubles de la vue ou de
pertes de
mémoire -- vous avez probablement la maladie de
l'aspartame!" Durant
mon intervention, les gens s'exclamaient « je souffre de
ça, est-ce
réversible? » Cette maladie se propage.
Quelques-uns des conférenciers
présents à ma présentation souffraient
eux-mêmes de ces symptômes. Lors
de l'une de mes conférences, l'ambassadeur d'Ouganda nous
apprit même
que leur industrie sucrière ajoutait de l'aspartame! Il
continua en
disant que l'un des fils du leader de cette industrie ne pouvait plus
marcher, en partie à cause de l'absorption de ce produit.
Il s'agit d'un problème très
sérieux. Quelqu'un est venu nous voir, le
Dr. Espisto (un de mes collègues) et moi-même,
pour nous demander «
Pouvez-vous me dire pourquoi de plus en plus de gens sont atteints de
sclérose en plaques? Durant la visite d'un
hôpital, une infirmière nous
a dit que six de ses amis, grands buveurs de Coke Diète,
avaient eu un
diagnostic de sclérose en plaques. Cela dépasse
les coïncidences, et
c'est là le problème. Aux États-unis,
des séances du Congrès ont eu
lieu avant que l'aspartame ne soit inclus dans 100 produits
différents.
Depuis ces premières séances, il y en a eu deux
autres, sans succès.
Rien n'a été fait. Les lobbies des industries
pharmaceutiques et
chimiques disposent de fonds quasi illimités. Aujourd'hui,
plus de
5,000 produits contiennent cette substance, et le BREVET EST
EXPIRÉ!!!
A l'époque de la première audience, les gens
devenaient aveugles. Le
méthanol de l'aspartame se transforme en
formaldéhyde dans la rétine de
l'oeil. La formaldéhyde appartient à la
même classe de toxicité que le
cyanure et l'arsenic -- DES POISONS MORTELS!!! Malheureusement, ils
prennent plus de temps à tuer; mais ils tuent des gens et
provoquent
toutes sortes de problèmes neurologiques.
L'aspartame change la chimie du cerveau, ce qui provoque de
graves
attaques. Cette drogue change le niveau de dopamine dans le cerveau.
Imaginez ce que cette substance provoque chez des patients souffrant de
la maladie de Parkinson. Cette drogue provoque aussi des
défauts de
naissance.
Il n'existe absolument aucune raison
d’ingérer ce produit. Ce n'est PAS
UN PRODUIT DIÉTÉTIQUE!!! Le rapport du
Congrès souligne « Cela provoque
un besoin maladif de carbohydrates et vous fera GROSSIR. » Le
Dr.
Roberts explique que lorsqu'il sevra ses clients d'aspartame, la perte
de poids moyenne était de 10 kg par personne. La
formaldéhyde se stocke
dans les cellules graisseuses, particulièrement dans les
hanches et les
cuisses.
L'aspartame est spécialement dangereuse pour les
diabétiques. Tous les
médecins savent ce que l'alcool de bois aura comme effet
chez un
diabétique. Nous nous sommes rendu compte que les
médecins pensent
avoir des patients atteints de rétinopathie, alors qu'en
fait, ce
désordre est provoqué par l'aspartame.
L'aspartame maintient le niveau
de sucre du sang hors de contrôle, provoquant le coma chez
beaucoup de
patients. Malheureusement, beaucoup en sont morts. Au cours de la
Conférence du American College of Physicians
(Collège Américain des
Médecins) de nombreuses personnes nous ont dit que certaines
personne
parmi leurs connaissances étaient passées de
produits à la saccharine à
des produits à l'aspartame et que ces gens avaient fini dans
le coma.
Leurs médecins n'arrivaient plus à garder les
niveaux de sucre du sang
sous contrôle. Ces patients souffraient de graves
problèmes de pertes
de mémoire, tombaient dans le coma et finissaient par
mourir.
La perte de mémoire est due au fait que sans les
autres acides aminés
trouvés dans la protéine, l'acide aspartique et
la phénylalanine sont
neurotoxiques. Ils franchissent la barrière sanguine du
cerveau et
détériorent les neurones. Le Dr. Russell Baylock,
neurochirurgien,
souligne que « Les ingrédients stimulent les
neurones du cerveau
jusqu'à la mort, provoquant des dégâts
dans le cerveau à des degrés
divers. Le Dr. Baylock a écrit un livre intitulé
"EXCITOTOXINS: THE
TASTE THAT KILLS" (Ecotoxines : le goût qui tue) (Health
Press
1-800-643-2665). Dr. H.J. Roberts, spécialiste du
diabète et expert
mondial de l'empoisonnement à l'aspartame a aussi
écrit un livre
intitulé "DEFENSE AGAINST ALZHEIMER'S DISEASE" (Pour se
protéger de la
maladie d'Alzheimer (1-800-814-9800). Le Dr. Roberts explique comment
l'empoisonnement à l'aspartame
accélère la maladie d’Alzheimer. Comme
l'infirmière d'un hopital me le disait, des femmes de 30 ans
arrivent
avec la maladie d'Alzheimer. Le Dr. Baylock et le Dr. Roberts vont
écrire un article sur ce sujet comportant quelques
descriptions de cas,
et le publieront sur Internet. Selon la Conférence du
American College
of Physicians, « Nous sommes en présence ici d'une
épidémie de maladies
neurologiques provoquées par ce poison mortel. »
Le Dr. Roberts a réalisé ce qui se
passait lorsque les premières
campagnes de marketing pour promouvoir l'usage de l'aspartame ont
été
lançées. Il dit que « ses patients
diabétiques présentèrent des
symptômes de perte de mémoire, de confusion et de
graves pertes de la
vue. » A la Conférence du American College of
Physicians, les médecins
admirent qu'ils n'en savaient rien. Ils se demandaient pourquoi ces
crises s'étaient tellement répandues (la
phénylalanine contenue dans
l'aspartame abaisse les seuils de crise et épuise la
sérotonine, ce qui
provoque de la maniaco-dépression, des attaques de panique,
de la rage
et de la violence).
Juste avant la conférence, j'ai reçu un
fax de Norvège me demandant
s'il existait un antidote à ce poison, car ils ont
énormément de
problèmes liés à cela dans ce pays. Ce
poison est maintenant disponible
dans plus de 90 pays. Heureusement, des conférenciers et
ambassadeurs
de plusieurs pays étaient présents à
la conférence et ils ont offert
leur soutien. Nous vous demandons aussi de nous aider. Imprimez cet
article et avertissez les gens que vous connaissez. Ramenez au magasin
tout produit contenant de l'aspartame. Faites le test "NO aspartame" et
envoyez-nous votre histoire.
Je vous assure que MONSANTO, les créateurs de
l'aspartame, savent très
bien à quel point ce produit est dangereux. Ils financent
l'Association
Américaine des Diabétiques, l'Association
Diététique Américaine, le
Congrès Américain et la Conférence du
Collège Américain des Médecins.
Le 15 novembre 1996, le New York Times a publié un article
montrant
comment l'Association Diététique
Américaine accepte de l'argent de
l'industrie alimentaire et approuve leurs produits en contrepartie.
Dès
lors, ils ne sont plus en position de critiquer le moindre additif, ou
de reconnaître leurs liens avec MONSANTO. C'est vraiment
très grave.
Nous avons dit à une mère dont l'enfant
était nourri au NutraSweet
d'abandonner ce produit. L'enfant souffrait d'attaques quotidiennes. La
mère a téléphoné
à son médecin, qui a
téléphoné à l'Association
Diététique Américaine, qui a
répondu au médecin de ne pas supprimer
l'apport de NutraSweet chez l'enfant. Nous en sommes toujours
à essayer
de convaincre la mère que l'aspartame provoque ces attaques.
Chaque
fois que nous parvenons à supprimer l'ingestion d'aspartame,
les
attaques cessent. Si cet enfant meurt, vous saurez qui en est
responsable, et c'est contre cela que nous nous battons. Il existe 92
symptômes documentés de problèmes
liés à l'aspartame, du coma à la
mort. La majorité d'entre-eux sont neurologiques, parce que
l'aspartame
détruit le système nerveux.
La maladie de l'aspartame est en partie la cause sous-jacente
du
mystère des problèmes de santé des
soldats américains durant la guerre
du Golfe. La langue qui brûle et d'autres
problèmes répertoriés dans
plus de 60 cas peuvent directement être reliés
à la consommation de
produits à l'aspartame. Plusieurs milliers de palettes de
boissons
diète avaient été envoyées
aux troupes stationnées dans le Golfe.
(Souvenez-vous qu'à partir de 30 °C, la chaleur
libère le méthanol de
l'aspartame). Ces boissons diètes restèrent sous
les 40°C du soleil
d'Arabie Saoudite durant des semaines, stockées sur des
palettes. Les
hommes et les femmes envoyés dans le Golfe les buvaient
toute la
journée durant. Tous leurs symptômes sont
identiques à ceux de
l'empoisonnement à l'aspartame. Dr. Roberts affirme que
« consommer de
l'aspartame au moment de la conception peut provoquer des
anormalités
de naissance. » Selon le témoignage devant le
Congrès qu'a fait le Dr.
Louis Elsas, pédiatre et professeur en
génétique à la Emory University,
la phénylalanine se concentre dans le placenta, provoquant
des retards
mentaux.
Dans les premiers tests sur les animaux de laboratoire, les
animaux
développèrent des tumeurs du cerveau (la
phénylalanine se décompose en
DXP, un agent provoquant des tumeurs au cerveau). Lors d'un
exposé du
Dr. Espisto sur l'aspartame, un neurochirurgien de l'audience rajouta
que « lorsqu'ils ont enlevé les tumeurs, ils ont
trouvé qu'elles
contenaient de très hautes concentrations d'aspartame.
»
Le stevia, un aliment sucré QUI N'EST PAS UN
ADDITIF et qui aide à la
métabolisation des sucres serait idéal pour les
diabétiques; il a
maintenant été approuvé comme
supplément diététique par la Food and
Drug Administration américaine. Durant des
années, cette même Food and
Drug Administration avait refusé d'approuver ce produit, du
fait de se
loyauté envers MONSANTO.
Si c'est marqué "SANS SUCRE" sur
l'étiquette, -- N'Y TOUCHEZ SURTOUT
PAS!!!!!l! Le Sénateur Howard Hetzenbaum a écrit
un projet de loi qui
aurait protégé tous les nourissons, les
mères enceintes et les enfants
des dangers de l'aspartame. Ce projet de loi aurait aussi
institué des
recherches indépendantes sur les problèmes
existant dans la population
liés à l'aspartame (attaques, changements dans la
chiimie du cerveau,
changements dans les symptômes et les attitudes
neurologiques). Ce
projet de loi a été enterré par les
tout-puissants lobbies des
compagnies chimiques et pharmaceutiques, laissant ainsi se propager
cette vague de maladie et de mort dans un public n'en
soupçonnant pas
l'existence. Depuis la Conférence du Collège
Américain des Médecins,
nous espérons avoir le soutien de certains leaders
politiques de
différents pays. À nouveau, S.V.P., aidez-nous.
Beaucoup de gens
doivent être avertis: transmettez-leur ces informations.
Voilà!
Vous ne pourrez plus dire, « Je ne le
savais pas. »
Maintenant que vous connaissez un peu mieux ce "fabuleux" produit, je vous dresse la liste des médicaments contenant de l'aspartam (eh oui !!!!)
Non non !!! Vous ne révez pas !
Source: Vidal 2005